Pas souvenir qu’au redémarrage d’une nouvelle campagne de colza, c’est la culture du maïs qui retient l’attention, plus particulièrement un de ses ravageurs : la chrysomèle. Elle est présente, probablement partout dans la plaine. Au vu des quantités piégées et ce pour la deuxième année consécutive, il va falloir passer à l’action si l’on veut évi-ter qu’elle finisse par causer des dégâts. On a un remède simple et efficace, la rotation. Sauf que dans les zones de monocultures la solution pose problème. Va falloir « faire passer la pilule » dès l’année prochaine et progressivement même si pour certains elle sera difficile à avaler !